Réseau Grand Ouest 41ème Séminaire Radioprotection en partenariat avec la CoRPAR

 

LOGO_UNICAEN_V_3.png Logo_Reseau_GO_PCR_V3.jpg 

Réseau Grand Ouest : 41ème séminaire radioprotection

Pour ses 20 ans d’activités, le Réseau Grand-Ouest tiendra un séminaire de 2 jours les 13 et 14 juin 2024 à l’Université de Caen Normandie*. Ce séminaire se déroulera en partenariat avec la CoRPAR.

 *L'université de Caen Normandie, certifiée QUALIOPI, porte le Réseau Grand Ouest.

 

Historique du Réseau Grand-Ouest et de la CoRPAR

A l’initiative de l’Université de Caen Normandie (UNICAEN) s’est tenue, le 04 mars 2004, une réunion sur les enjeux de la radioprotection. Cette démarche s’inscrivait dans les recommandations du rapport d’un groupe d’experts (Groupe Priorités en radioprotection en France institué en 2003 par le directeur général de la DGSNR) rendu public le 2 mars 2004.

Quelques dizaines de personnes (PCR ou acteurs de la radioprotection) étaient présentes. A l’unanimité, les participants ont acté la décision de créer le « Réseau Régional Grand-Ouest des PCR et Acteurs de la Radioprotection ».

Il a connu une croissance forte jusqu’en 2018, en particulier en direction du secteur médical, et comporte aujourd’hui plusieurs centaines d’adhérents.

La graine était plantée et, vers la fin des année 2000, d’autres réseaux régionaux pluri-sectoriels rassemblant les acteurs de la radioprotection – principalement des PCR du « nucléaire de proximité » - voient les jour à TOURS, LILLE, LYON, TOULOUSE et dans plusieurs autres grandes villes. Aujourd’hui, il existe 15 réseaux régionaux (en France mais aussi à la Guadeloupe) fédérés au sein d’une coordination nationale, la CoRPAR.

 

 

 

Les objectifs des réseaux régionaux

A vocation plus généraliste, par opposition à des réseaux d’entreprises plutôt centrés sur l’outil de travail, les réseaux régionaux cherchent couvrir tout le champ de la radioprotection. Dans ce contexte, afin de construire une véritable culture de radioprotection, leurs objectifs ont pu être définis ainsi :

  • Mettre en commun leurs expériences propres en vue d’enrichir mutuellement les démarches en radioprotection ;
  • Contribuer à maintenir un bon niveau de compétence dans ce domaine ;
  • Restituer l’avancée des débats en cours dans les divers Groupes de Travail, Groupes d’Experts, commissions, Conseils… pour une meilleure implication de toutes les parties prenantes ;
  • Intervenir à leur niveau et en amont comme un acteur dans les processus de décision en matière de radioprotection ;
  • Procéder à des mises à jour régulières [veille scientifique / veille réglementaire] des connaissances et des développements en radioprotection ;
  • Relater des expériences, des difficultés de terrain, des études de cas dans une démarche de conseil collectif ;
  • Rompre l’isolement des PCR sur des petites structures ou sur des sites qui débutent ;
  • Tenter de s’appuyer mutuellement par des conseils, y compris en termes de mise en œuvre ou de prêts d’instrumentation, d’équipements ;
  • Participer à une forme de « formation continue » de la PCR (ce qui n’est pas dénué d’intérêt en vue de la formation de renouvellement).

 

 

 

 

Personnes connectées : 2 Vie privée
Chargement...